Tchad : ouverture d’une deuxième vanne pétrolière
Le président tchadien Idriss Déby Itno a ouvert dimanche la vanne du champ pétrolier de Badila, exploité au sud du pays par la Société des Hydrocarbures du Tchad (SHT) et la compagnie canadienne Griffiths Energy International.
Le brut extrait, soit 14.000 barils par jour, est exporté par le pipeline exploité par le consortium Exxon-Chevron-Petronas jusqu’au port de Kribi, au Cameroun.
Le président Déby s’est dit satisfait et heureux d’ouvrir la vanne de Badila, dix ans après celle de Komé, dans la même région.
« J’ai beaucoup d’espoir, non pas à cause des installations actuelles de la région du Logone oriental, mais parce qu’il y a du pétrole découvert un peu partout dans notre pays », a-t-il déclaré. (suite…)
Le MEDEF s’intéresse à l’économie tchadienne
Le Président de la République IDRISS DEBY ITNO qui se trouve en séjour à Paris en France a reçu mardi dernier, le vice-Président du Mouvement des entreprises de France, Michel Roussin. Les relations entre le MEDEF et le Tchad ont été évoquées au cours de cette audience.
Cet entretien entre Michel Roussin, vice-président du Mouvement des entreprises de France et le Chef de l’Etat IDRISS DEBY ITNO intervient suite à la rencontre multidimensionnelle de travail entre les deux hommes en décembre dernier à Paris avec le Patronat français. Le Chef de l’Etat et le patron du MEDEF ont largement évoqué au cours de cette audience, les relations entre le MEDEF et le Tchad. Par ailleurs, au cours d’une rencontre en présence de l’Ambassadeur du Tchad en France, Hissein Brahim Taha et du Secrétaire général de la Présidence de la République, Bedoumra Kordjé,il a été demandé, aux hommes d’affaires français de venir investir au Tchad et aider le pays de Toumai, dans sa quête du développement. Les opérateurs économiques tchadiens et ceux de l’hexagone sont appelés ainsi à agir ensemble suite à la longue tradition de coopération entre Paris et N’Djaména. (suite…)
Le Tchad investit 366 millions € pour se doter d’une Cité internationale des affaires
Le président Deby Itno a effectué la pose de la première pierre de la construction de la Cité internationale des affaires (CIA) à N’djamena capitale du Tchad (PIB 2011 : 9,5 milliards $ ; Population : 11,5 millions).
« Ce projet est futuriste. L’ensemble des édifices qui sera érigé sur ce site démontre notre volonté de changer le visage de la capitale tchadienne. Nous ambitionnons de faire de N’Djaména une ville véritablement carrefour » s’est réjouit Deby Itno.
La construction du CIA durera 2 ans et créera 5000 emplois dont une grande partie sera, selon les promoteurs, réservé aux jeunes Tchadiens.
Cet ensemble immobilier sur 20 hectares comprendra un parc d’exposition de 30 000 m2, un palais de congrès de 2000 places, un centre commercial de 11 000 m2, un Centre africain des technologies de l’information, 2 tours de 23 étages chacune qui abriteront le ministère de l’Energie et du pétrole et la Société des hydrocarbures du Tchad ainsi qu’un grand hôtel de 254 chambres de luxe, 16 suites ministérielles, 2 suites présidentielles et une suite royale. (suite…)
Le Tchad champion de la croissance économique en zone Franc
Le Fond Monétaire International qui vient de rendre public ses dernières données concernant les perspectives économiques mondiales , à relever ses prévisions de croissance pour l’Afrique Subsaharienne qui devrait progressivement s’accélérer entre 2012 (4,8%) à 2013 (5,6%) puis 2014 (6,1%).
Mais ce qui nous interpelle le plus dans ces chiffres , surtout pour nous Tchadiens , ce sont les chiffres du Tchad. Et là quelle surprise!
Le Fond Monétaire International a fortement revu à la hausse les prévisions de progression du Produit Intérieur Brut (du revenu National) du pays qui a en 2012 eu 5% de croissance puis qui devrait connaître en 2013 une accélération à 8,1% grâce à l’amélioration de l’offre d’électricité, au rétablissement progressif de la filière coton et gomme arabique, à la bonne pluviométrie qui a permis de bonnes récoltes et aux investissements dans les infrastructures. En 2014, l’accroissement de la richesse Nationale devrait atteindre 2 chiffres (10,5%, à la chinoise!) grâce entre autres à la mise en exploitation de nouveaux gisements pétroliers entre autres et l’institution entrevoit 8,2% en 2015. (suite…)
Le Tchad met le cap sur l’Ennedi
Pour faire découvrir les paysages uniques du Nord-Est tchadien, un voyagiste français a affrété des avions pour Faya. Un an après la première expédition, le goût de l’aventure semble avoir pris.
Il est tout à la fois mystérieux, fascinant, sauvage et hors du temps. Dans le nord-est du Tchad, le long de la frontière soudanaise, le massif de l’Ennedi ne cesse de surprendre : ses milliers de pics de grès sculptés par les vents et le sable, ses lacs (salés ou non), ses larges vallées d’acacias, ses canyons labyrinthiques et guelta (points d’eau) insoupçonnées, ses caravanes de dromadaires cheminant vers les sources… au fil du sable et de l’eau, tout est à la fois simple, époustouflant et apaisant.
Réputé être l’un des joyaux les plus secrets et inaccessibles du Sahara, rongé par près de quarante ans de conflits et de rébellions – mais en paix depuis 2009 -, le nord du Tchad, terre des Toubous, s’est ouvert aux touristes. Depuis un peu plus de un an, la coopérative française de voyageurs Point-Afrique propose des circuits de randonnée inédits pour découvrir ces paysages grandioses. (suite…)
Tchad : des performances économiques en dents de scie
Le pays affiche la meilleure croissance de la région en 2012. Le problème est qu’elle reste totalement dépendante des revenus pétroliers, des aléas météorologiques et du climat des affaires.
Si l’on se contentait de regarder le taux de croissance de son PIB pour 2012, qui caracole à 7,3 % selon les estimations du Fonds monétaire international (FMI), on pourrait s’enthousiasmer et se dire que le Tchad va décidément beaucoup mieux. Mais il suffit d’observer d’un peu plus près son évolution pour comprendre que le pays est malheureusement un habitué des résultats en dents de scie. D’ailleurs, le FMI prévoit une croissance beaucoup plus molle pour 2013 : 2,4 %.
Principalement dépendante des secteurs pétrolier et agricole, l’économie tchadienne peine à se stabiliser et à trouver son rythme de croisière. En 2012, si les cours élevés de l’or noir - 111,70 dollars (84,50 euros) le baril en moyenne annuelle - ont permis l’entrée de devises, les faibles pluies ont directement affecté l’agriculture et l’élevage. « L’agro-industrie a souffert, car elle dépend encore des aléas climatiques, rapporte ainsi Joseph Pagop Noupoué, responsable du Tchad et du Cameroun au cabinet Ernst & Young. L’élevage manque d’investissements structurants pour industrialiser la filière. Le coton, quant à lui, reste désorganisé (semences en retard, manque de confiance des producteurs…) et la production est en baisse.» (suite…)
Au Tchad, il suffit d’un SMS pour tout payer
Les deux principaux opérateurs viennent de lancer leur offre de mobile banking. Si la monnaie virtuelle n’est pas encore entrée dans les moeurs, la fonction de transfert d’argent a déjà décollé.
Parce que le réseau de transfert d’argent est souvent peu fiable. Parce que quand il l’est, il reste trop éloigné des contrées reculées. Parce que, à l’inverse, la couverture du réseau GSM est très bonne et connaît une croissance exponentielle. Parce que le réseau mobile, enfin, offre énormément de facilités dans un pays encore rural – même si la tendance, comme partout en Afrique, est à l’urbanisation. C’est pour toutes ces bonnes raisons que l’opérateur Airtel, via Airtel Money, s’est lancé en juin 2012 sur le créneau du mobile banking (services bancaires sur téléphone mobile), conjointement avec le groupe bancaire panafricain Ecobank. Son concurrent Tigo a suivi fin 2012 en lançant Tigo Cash, en partenariat avec Orabank.
Dans les deux cas, le principe est le même : utiliser son téléphone, préalablement rechargé en monnaie virtuelle, pour faire ses courses, aller au restaurant ou encore pour transférer de l’argent à quelqu’un. Pas besoin de carte d’identité, un simple code suffit alors pour récupérer le transfert chez un dépositaire : commerçant, prestataire de services, etc. « Il y en a déjà beaucoup, mais nous essayons de densifier notre réseau », explique Djekouamian Netonon Jonathan, responsable de produit chez Airtel. Pour l’option paiement de factures, une soixantaine d’enseignes (supérettes, pharmacie, restaurants) s’essayent déjà à l’exercice. Mais le nombre de clients qui choisissent d’utiliser leur téléphone comme portefeuille reste pour le moment limité. (suite…)
Tchad : Les opérateurs de la téléphonie imposent des taxes supplémentaires
Les populations Tchadiennes se sont indignées une fois de plus le 2 mars 2013 contre les opérateurs de téléphonie mobile exerçant dans le pays. Tigo, Airtel, Tawali et les autres ont une nouvelle fois, de manière unilatérale, décidé d’imposer une taxe supplémentaire aux abonnés du mobile.
Le 1er mars 2013, chaque opérateur a envoyé des Sms à ses clients pour les informer qu’une nouvelle taxe de 1,18 FCfa sera appliquée sur tous les appels à partir du 2 mars 2013.
Cette nouvelle taxe vient s’ajouter à la taxe quotidienne de 10 FCfa et celle de 1 FCfa pour l’environnement. Une multitude de taxe qui ne montre pas son utilité dans le changement des conditions de vie des populations Tchadiennes. Au contraire, elle rend la communication téléphonique au Tchad la plus chère du monde. Pour les populations excédées, c’est de l’arnaque organisée sous les yeux du gouvernement qui est pourtant garant de la protection des consommateurs.
Tchad : Une station électrique de la raffinerie de Djarmaya inaugurée
Le président tchadien, Idriss Déby Itno, a inauguré, lundi au nord de la capitale, une station électrique à haute tension, symbole de la coopération gagnant- gagnant avec la République populaire de Chine, reprise en 2006.
D’un coût global de 199 millions USD (dont 70% financés par la Chine), la nouvelle station électrique relie la raffinerie de Djarmaya (mise en exploitation en juin 2011 par la Chine à 80 km au nord de N’Djaména, la capitale, et qui produit 20 mégawatts) au posse de transformation de Lamadji, à la sortie nord. L’énergie sera envoyée par ligne aérienne jusqu’aux réseaux de la Société nationale d’électricité (SNE) qui sera chargée de la distribuer.
« Ces installations contribueront à améliorer substantiellement l’alimentation en électricité de N’Djaména de manière instantanée », a déclaré M. Gata Ngoulou, ministre tchadien des Infrastructures et des Equipements publics. (suite…)
Tchad/BAD : 2 milliards F CFA pour promouvoir la bonne gouvernance et la transparence des finances publiques
Le Tchad et la Banque Africaine de Développement (BAD) ont signé lundi deux lettres d’accord de don pour le financement de deux projets d’un coût global d’environ 2 milliards F CFA (4 millions USD) qui visent à promouvoir la bonne gouvernance dans le secteur public et à renforcer la transparence et la responsabilisation dans la gestion des finances publiques au Tchad.
Le premier accord de don, d’un montant de 1,3 million unités de comptes, soit environ plus de 1,5 milliard F CFA, vise à soutenir les efforts du gouvernement tchadien dans la mise en oeuvre de l’Initiative Transparence dans les Industries Extractives (ITIE), a précisé Michel-Cyr Djiena Wembou, représentant résidant de la BAD au Tchad.
Le second accord de don, d’un montant de 445.000 UTC, soit un peu plus de 1 milliard F CFA, contribuera au renforcement des capacités de l’administration publique dans le domaine de la gouvernance économique et financière, particulièrement dans la gestion des marchés publics. (suite…)
Tchad: réouverture de la raffinerie de N’Djamena
Les autorités tchadiennes ont décidé de rouvrir la raffinerie de Djarmaya (nord de N’Djamena) à la suite des négociations entamées depuis samedi avec la partie chinoise a annoncé lundi à la radio nationale le Ministre de la justice Abdoulaye Sabre Fadoul.
Pour faciliter les discussions qui vont continuer, nous avons décidé de rouvrir la raffinerie a déclaré M.Sabre Fadoul qui préside le comité interministériel de l’évaluation et de la renégociation du contrat de raffinage.
On a commencé il ya trois jours les négociations qui ont permis quelques avancées sur les conditions préalables qui nous avons posées à nos amis chinois avant la réouverture a indiqué le ministre.
Il a précisé avoir demandé aux chinois d’assurer la régularité de l’approvisionnement des marchés extérieurs et de garantir un prix accessible aux populations tchadiennes.
Nous avons obtenu quelques garanties, les discussions vont continuer pour aboutir à des solutions acceptables par les deux parties, mais qui tiennent compte des intérêts des populations tchadiennes a souligné le ministre de la Justice.
Le 19 janvier, la raffinerie de Djermaya construite par la Chine et inaugurée en juin 2011, avait été fermée par les autorités qui ont ordonné le départ de son directeur en raison d’un différend sur les prix du carburant.
Le 27, Le Président tchadien Idriss Déby Itno avait limogé deux ministres, dont celui de l’énergie et du pétrole, Eugène Tabé.
Le président Idriss Deby Itno avait inauguré en personne la raffinerie en juin estimant qu’elle était le symbole de l’indépendance énergétique du Tchad et espérant même ravitailler la sous-région.
De source officielle en 2011, le pays, qui exploite le pétrole depuis 2003, produit en moyenne 120.000 barils par jour. Les revenus pétroliers lui ont permis de moderniser son armée, de se doter d’un meilleur réseau routier et de construire de nombreux bâtiment publics. Certains membres de la société civile demandent au régime d’employer davantage cette manne pour l’amélioration des conditions de vie des Tchadiens.
(©AFP / 06 février )
Les opportunités de développement des Energies renouvelables au Tchad
Plusieurs conférences débats ont étés faites par d’imminentes personnalités du monde de la Technologie le jeudi 2 février à l’hôtel Kempinski. Ces conférences débats s’inscrivent dans le cadre du Forum International des Energies Renouvelables placé sous le haut patronage du Chef de l’Etat Idriss Deby Itno qui se déroule à N’Djamena du 1er au 4 février 2012.
C’est l’occasion pour le Secrétaire Général du Ministère de l’Environnement Dounia Sandjiman d’établir la situation énergétique du Tchad. Pour lui, des multiples crises socio- économiques qu’impose la mondialisation ont également entrainé une crise énergétique sans pareil dans le monde. « Cette crise frappe malheureusement l’Afrique durement », a-t-il indiqué. Aussi, propose t-il l’adoption des énergies renouvelables pour circonscrire la situation.
L’énergie solaire est jusque-là très peu utilisée au Tchad à cause de manque d’équipement. Selon lui, cette source d’énergie est utilisée que dans quelques rares unités sanitaires de province. Quand à l’éolienne, bien que moins cher et vielle, elle est aussi très peu utilisée.
Selon le SG de l’Environnement « le cadre législatif et institutionnel existe au pays ». Et de poursuivre que la stratégie appropriée a permis l’installation du réseau « Jatropha » pour le biocarburant dans le cadre de la recherche agricole. Ceci consiste à améliorer le système d’énergie en milieu rural afin de préparer la période poste pétrole.
Des contraintes s’imposent cependant devait-il mentionner. Ce sont entre autres l’appauvrissement des sols, la dégradation de la nature et le phénomène des criquets pèlerins. Et comme solutions à tous ces problèmes, son département a initié le développement des ceintures vertes et l’interdiction de couper le bois vert. Dounia Sandjiman recommande la poursuite de la campagne de sensibilisation et l’utilisation des énergies de substitution.
M. Dangai du Ministère de Plan et de l’Economie a axé son exposé sur le bilan et la stratégie du secteur de l’énergie au Tchad. Le Tchad, disait-il, a de sérieux problèmes malgré sa position de pays pétrolier. Environ 90% du Patrimoine forestier a été détruit depuis les années 70 à nos jours a-t-il mentionné. C’était selon lui dû à l’utilisation abusive du fagot et de charbon de bois. Et de dire que les projets de son département sont le salaire initié en province dans les habitations et autres infrastructures d’accueil. Le photovoltaïque dans certaines régions de l’Est grâce à la coopération Tchado- Soudanaise. Pour lui, le gouvernement s’est inspiré des pays arabes pour éclairer les rues d’Abéché avec le salaire. Jocelyn Duval et Nicolas Contis avocats au cabinet Kalliopé ont proposé quant à eux, l’encadrement juridique social et institutionnel.
Source: ATP
Tchad: le sommet de la CEEAC appelle à la libre circulation
Le 15ème sommet de la communauté Économique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) s’est clos lundi avec un appel des chefs d’Etat membres à appliquer la convention de libre circulation des biens et des personnes.
Les chefs d’Etat ont appelé les Etats membres à appliquer toutes les décisions et les règles relatives à la circulation des personnes, et à créer systématiquement des couloirs d’entrée CEEAC dans les aéroport et postes frontaliers fixant au 1er juillet 2012 le démarrage de la mise en oeuvre de la zone de libre échange de la CEEAC pour qu’elle soit effective en 2014.
Dans ce texte, ils apportent également leur soutien au renouvellement de Jean Ping à la présidence de la commission de l’Union Africaine (UA), poste qu’il occupe depuis février 2008 et dont il briguera fin janvier le renouvellement. M. Ping s’est rendu en Libye lundi.
Outre M. Ping, ancien ministre gabonais, Mme Nkosazana Dlamini-Zuma, ancien chef la diplomatie sud-africaine de 1999 à 2009 est candidate à ce poste avec le soutien de l’Afrique du Sud.
Dimanche, à l’ouverture du sommet le président tchadien Idriss Deby Itno avait appelé les quatre autres chefs d’Etat présents – Denis Sassou Nguesso (Congo), Teodoro Obiang Nguema (Guinée Equatoriale), François Bozizé (Centrafrique) et Pierre Nkurinziza (Burundi) – à s’investir davantage pour que l’Afrique Centrale ne soit pas le dernier wagon de la locomotive de la mondialisation.
Le Tchadien Nassour Guelengdoukssia Wado, ancien Président de l’Assemblée nationale, a été désigné nouveau Secrétaire Général de la CEEAC, il remplace à ce poste le congolais Louis Sylvain Goma.
M. Deby a été reconduit à la tête de la CEEAC dont le prochain sommet se tiendra en 2013 à N’Djamena. Le budget général a été arrêté à plus de 52 milliards de FCFA (79 millions d’euros).
Créée en 1983, la CEEAC regroupe dix pays: l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Gabon, le Congo-Brazzaville, la République démocratique du Congo, la Guinée équatoriale, Sao Tomé et Principe et le Tchad.